Séminaire - Transition agroécologique et climat en Algérie
Séminaire
Alger, 29 juin 2025
Transition agroécologique dans différents écosystèmes pour lutter contre le changement climatique en Algérie : réflexions sur une approche multi-acteurs
Résumé
Ce séminaire est organisé dans le cadre du projet NATAE pour aborder la transition agroécologique face au changement climatique. L'objectif est de discuter des impacts du climat sur les écosystèmes, de promouvoir le réseau MEDAE et de renforcer l'engagement des parties prenantes. L'événement vise à soutenir les politiques publiques en faveur de l'agroécologie et des systèmes alimentaires durables, à mettre en lumière les initiatives locales et à mettre en commun les résultats de la recherche. Un autre objectif est d'intégrer les initiatives algériennes en faveur de la transition agroécologique dans une approche régionale afin de partager les efforts et les ressources.
Programme
- 10:00 - 10:30 - Accueil des participants - Inscription
- 10:30 - 11:00 - Cérémonie d'ouverture
Modérateur : Karima Boudedja - 11:00 - 11:30 - Pause café
- 11:30 - 13:30 - Session 1 : L'agroécologie dans les différents agroécosystèmes d'Afrique du Nord
Modérateur : Amel Bouzid - 13:30 - 15:00 - Pause déjeuner
- 15:00 - 16:00 - Session 2 : La voix des professionnels de l'agroécologie
Modérateur : Aissa Belhadi - 16:00 - 17:30 - Session 3 : Politiques et programmes pour la transition agroécologique
Modérateur : Amine Oulmane - 17:30 - Débat et conclusion
Cliquez ici pour en savoir plus et télécharger l'agenda complet
RIAM à la 17ème édition du SIAM à Meknès
Du 21 au 27 avril, le RIAM a participé à la 17ème édition du Salon International de l'Agriculture de Meknès (SIAM), l'une des plus grandes manifestations agricoles de la région. Le 23 avril, le RIAM a contribué à la conférence "Pratiquer des solutions durables pour préserver les sols agricoles et l'eau". organisée par la délégation de l'Union européenne.
Au cours de la session, le RIAM a présenté ses activités dans le cadre du projet NATAE, en mettant l'accent sur les pratiques agricoles durables. La conférence visait à :
- Sensibiliser et partager les connaissances sur la gestion efficace de l'eau et des sols
- Mettre en évidence les approches innovantes et intégrées, en particulier l'agroécologie, en tant que solutions aux défis environnementaux actuels.
- Identifier des stratégies concrètes pour renforcer la résilience du secteur agricole marocain
Le RIAM a partagé des informations sur ses programmes de formation, ses visites croisées et ses travaux en cours sur les systèmes de garantie participatifs (SPG) en agroécologie, mettant en évidence sa contribution à une agriculture plus durable et plus résiliente au Maroc.


École internationale de terrain dans l'oasis de Kébili | 12-18 avril 2025
Organisée par l'équipe de l'INAT en collaboration avec les agriculteurs et les acteurs socio-économiques locaux, l'école internationale de terrain a rassemblé 18 étudiants de Tunisie et des pays partenaires de NATAE dans l'oasis de Kébili.
Cette expérience immersive a permis aux participants de développer des compétences pratiques sur le terrain tout en contribuant à l'analyse des dynamiques territoriales dans les écosystèmes oasiens. À l'aide d'outils participatifs et d'enquêtes de terrain, les étudiants ont travaillé sur trois domaines thématiques : biodiversité, gestion de l'eau et chaînes de valeur des oasisLa Commission européenne a également publié un rapport sur la transition agroécologique, qui propose des stratégies concrètes pour une transition agroécologique réussie.
Les contacts avec les agriculteurs ont eu lieu dans des oasis traditionnelles et modernes, et ont donné lieu à des échanges enrichissants avec l'association des femmes. Val'oasis. Les élèves ont découvert des produits locaux et se sont familiarisés avec l'initiative Jemna, un modèle inspirant de gestion collective d'oasis dans le cadre de l'économie sociale et solidaire.
Le programme s'est achevé par des présentations et des recommandations faites par les étudiants, partagées avec les acteurs locaux lors d'une séance de clôture qui a encouragé le dialogue et la collaboration.



Suite des visites croisées au Maroc avec le laboratoire vivant de Skoura M’Daz (ENAM)
Du 5 au 8 avril 2025, l´ENAM (Ecole Nationale d’Agriculture de Meknes) a accueilli la troisième visite croisée organisée dans le cadre du projet NATAE Chercheurs et étudiants de l’ENAM se sont mêlés à une vingtaine d’agriculteurs, de chercheurs et d’acteurs du développement venus de Tunisie, Mauritanie, France, Italie et Pays-Bas pour partir à la découverte des activités du laboratoire vivant de Skoura M’Daz. Le groupe de participants incluait des représentants des laboratoires de Siliana (Tunisie), PK 17 (Mauritanie), ainsi que des chercheurs de WUR, l´AIMM et l´IAMB.
Les participants se sont rendus dans la province de Boulmane, dans la partie orientale du Moyen Atlas marocain, afin de découvrir le laboratoire de Skoura M’Daz situé en agroécosystème montagneux. Ces quatre jours de visite ont été structurés autour de deux grands enjeux :
(i) la conservation et l’adaptation des savoirs et savoir-faire locaux ainsi que de la biodiversité ;
(ii) l’inclusion socio-économique des jeunes et des femmes grâce à la filière des plantes aromatiques et médicinales (PAM).
En plus de plusieurs visites d’exploitations agricoles et de coopératives de valorisation et de commercialisation des PAM, les participants ont également visité la plateforme AgriTech de l’ENAM consacrée au développement et à la démonstration d’outils agricoles « low tech » et ont pu faire le tour du laboratoire vivant d’Ait Otmane situé en zone péri-urbaine et lui aussi mis en place dans le cadre du projet NATAE. Chacune de ces journées s’est conclue par l’organisation de temps d’échanges et de restitution pour permettre aux participants de revenir sur ce qu’ils ont vu et appris, ainsi que de mettre en avant des similitudes ou différences en lien avec leurs propres expériences et expérimentations dans leurs laboratoires.



(i) Conservation et adaptation des savoirs et savoir-faire locaux ainsi que de la biodiversité
Les différentes visite et échanges ont permis de mettre en lumière que les savoirs et savoir-faire locaux relatifs à l’utilisation et la valorisation de la biodiversité locale permettent d’améliorer la résilience des cultures et de participer au maintien des rendements, en particulier dans le contexte du changement climatique. Ces pratiques incluent le semis-direct, la rotation et la diversification des cultures, la production autonome de semences ou encore l’utilisation de techniques d’irrigation raisonnée. Les personnes rencontrées accordent toutes un fort intérêt pour la transmission intergénérationnelle des savoirs et viennent compléter cet héritage en introduisant progressivement dans leurs systèmes de production de nouvelles pratiques agroécologiques ou de nouvelles cultures (safran, lavande, fenugrec,…).
(ii) Inclusion socio-économique des jeunes et des femmes grâce à la filière des PAM
Les deux coopératives féminines visitées, la coopérative Ennahah à Ifrane et la coopérative Safirat Alachaab à Skoura, ont profondément impressionné les participants à la visite croisée du fait de leurs capacités de production, de valorisation et de commercialisation des PAM. En permettant à leurs membres de se structurer et d’augmenter leurs revenus, ces coopératives représentent de véritables modèles d’autonomisation sociale et économique pour les femmes rurales. Leur fonctionnement collectif, flexible et solidaire permet une répartition équitable des revenus ainsi qu’une prise en compte des charges familiales de chacune des membres. Dans ces deux coopératives les PAM étaient initialement cueillies dans les forêts environnantes mais, face à la demande croissante pour certaines plantes et devant la raréfaction de plusieurs espèces endémiques, les femmes se sont organisées pour cultiver les PAM sur des parcelles appartenant à la coopérative ou sur leurs propres parcelles. Sur ce point, plusieurs besoins ont pu émerger des échanges tenus avec ces femmes, notamment en matière de formation sur la domestication des PAM et sur leur multiplication végétative et générative. Les discussions inter-pays entre les participants à la visite croisée ont révélé que, malgré des contextes très différents, les coopératives féminines apparaissent comme de réels leviers d’innovation, de durabilité et d’inclusion.
La prochaine et dernière visite croisée prévue dans le cadre du projet NATAE se tiendra en novembre en Mauritanie, dans le laboratoire PK 17. Situé en proche périphérie de la capitale, Nouakchott, les participants y découvriront quelles combinaisons de pratiques agroécologiques peuvent être mises en place en milieu péri-urbain.
Activités du living lab de Tizi-Ouzou (Session de formation)
Dans le cadre du projet NATAE sur la transition agroécologique, le CREAD a organisé, les 27 et 28 avril, une formation dédiée à l’extraction des huiles essentielles et des hydrolats à partir de plantes aromatiques et médicinales. Cette session s’adressait aux femmes engagées dans le Living Lab de Tizi-Ouzou, impliquées dans le scénario portant sur le développement d’activités agroforestières. L’objectif est de renforcer les capacités locales face aux effets du changement climatique et à la rareté des terres agricoles.



Webinar Medae : Comment l'agroécologie peut-elle être un levier pour l'émancipation des femmes en Afrique du Nord ?
Les MEDAE a le plaisir de vous inviter à participer au webinaire " Comment l'agroécologie peut-elle être un levier pour l'émancipation des femmes en Afrique du Nord ? “ qui aura lieu le mardi 22 avril 2025 (14:00 -16:00 CET).
Résumé :
Ce webinaire se penchera sur la place des femmes dans les systèmes alimentaires en Afrique du Nord et sur la manière dont l'agroécologie contribue à leur autonomisation. Des présentations de chercheurs et d'agriculteurs de Tunisie, d'Algérie et du Maroc permettront de mieux comprendre comment l'agroécologie peut renforcer l'autonomie des femmes rurales, en leur permettant d'accéder à de nouvelles opportunités économiques et de participer à des dynamiques territoriales collectives. Plusieurs sessions de questions-réponses seront organisées pour permettre aux participants de réagir aux présentations et de partager leur propre expérience et leur vision d'un développement rural plus inclusif.
Le webinaire se déroulera en français, avec une traduction en anglais.
Programme (CET) :
14h00-14h10 - Accueil, contextualisation du webinaire, présentation du webinaire et des intervenants
Morgane Gaudin, Coordinatrice du réseau MEDAE - Association CARI
14h10-14h20 - Introduction du webinaire : Rôle et place des femmes dans l'agroécologie en Afrique du Nord
Zoubir Chattou, chercheur à l'Ecole Nationale d'Agriculture de Meknès (ENAM)
14h20-14h35 - TUNISIE : Les femmes néo-rurales s'installent en agroécologie dans les systèmes oasiens et périurbains
Imene Chelbi, agricultrice et fondatrice de la ferme El Rochen
14h35-14h55 - Première session de questions et réponses
14h55-15h10 - ALGERIE : Agroécologie et émancipation des femmes rurales dans les agroécosystèmes de montagne
Karima Boudedja, chercheur principal au Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement (CREAD)
15h10-15h25 - MAROC : Agroécologie et émancipation des femmes rurales dans les agroécosystèmes de montagne
Ghizlane Echchgadda, enseignant-chercheur à l'Ecole Nationale d'Agriculture de Meknès (ENAM)
15h25-15h45 - Deuxième session de questions et réponses
15h45-15h55 - Remarques finales du grand témoin
Rachel Bezner Kerr, enseignante à l'université de Cornell
16h00 - Fin du webinaire
L'inscription est obligatoire, alors inscrivez-vous dès maintenant ici.
La deuxième visite croisée, quand l'oasis devient un laboratoire : une réunion de partage des connaissances au Living Lab de Laghouat (Algérie)
Du 19 au 23 février 2025, le Living Lab de Laghouat a accueilli une visite croisée durant laquelle experts locaux et internationaux ont partagé leurs savoirs et expériences face aux défis climatiques et économiques contemporains. Pendant cinq jours, les participants ont exploré ensemble comment conjuguer techniques ancestrales et approches innovantes pour bâtir des systèmes agricoles résilients et durables.
La seconde visite croisée du projet NATAE a rassemblé une vingtaine d'experts venus du Maghreb et d'Europe : agriculteurs du LL de Laghouat et de Tizi Ouzou (Algérie), acteurs des laboratoires de réplication de l'Adrar (Mauritanie) et de Kébili (Tunisie), ainsi que des chercheurs du CREAD, de l’INAT (Tunisie) et de WUR (Pays-Bas).
L'association El Argoub, a organisé un programme structuré autour de trois enjeux majeurs :
- la gestion de l'eau face à la sécheresse
- la transformation et valorisation des productions
- la co-construction des savoirs via les groupements collectifs
Les visites de terrain ont constitué la colonne vertébrale de ces échanges. Au cœur des jardins traditionnels, les participants ont analysé ensemble le système ancestral de "tour d'eau" via les séguias. Les agriculteurs locaux ont partagé leurs techniques de gestion collective de cette ressource rare, suscitant des comparaisons enrichissantes avec les pratiques tunisiennes et mauritaniennes. La visite du barrage souterrain inferoflux de Tadjmout, qui permet à la fois le captage des eaux de crues tout en évitant les pertes par évaporation, a amorcé des débats animés entre hydrogéologues, chercheurs et agriculteurs sur les infrastructures hydrauliques adaptées aux zones arides.
Dans les exploitations agricoles visitées, chaque participant a pu interroger, comparer et documenter les systèmes intégrés polyculture-élevage spécifiques au contexte oasien. Les agriculteurs mauritaniens ont partagé leurs pratiques d'adaptation à des conditions encore plus arides, tandis que les Tunisiens ont présenté leurs innovations en matière d'irrigation économe. Ces échanges directs sur le terrain ont permis d'identifier collectivement les facteurs de résilience des systèmes agricoles face aux bouleversements climatiques.


Les ateliers ont permis de décortiquer méthodiquement les observations de terrain. Un premier atelier dédié à la gestion de l'eau a confronté les techniques traditionnelles aux approches technologiques modernes. Les participants ont cartographié l'ensemble des solutions observées, évaluant leur transférabilité d'un territoire à l'autre.
Un second atelier centré sur les chaînes de valeur a disséqué les processus de transformation observés dans plusieurs unités de production. Les agriculteurs ont présenté leurs techniques de valorisation des sous-produits des dattes, de fabrication fromagère et d'apiculture, déclenchant des échanges techniques détaillés sur les procédés, les équipements, les coûts et les stratégies de commercialisation. Les circuits courts et l'e-commerce ont fait l'objet d'analyses comparatives entre les différentes régions représentées. L'atelier consacré à la co-construction des savoirs a particulièrement marqué les participants. L'association El Argoub a exposé son modèle organisationnel, suscitant une réflexion collective sur les structures coopératives comme leviers d'innovation agricole.
Ces différents échanges et débats ont permis de formaliser les apprentissages, d'identifier les pratiques transférables et apporter des expertises et des savoirs nouveaux. Ces moments d'intelligence collective ont recommandé de maintenir le réseau d'échange et de le pérenniser afin de créer une communauté transfrontalière d'innovation agricole adaptée aux défis climatiques des zones arides.
La dernière journée a été consacré à la découverte de l’Atlas Saharien et du Djebel Amour, révélant l'histoire millénaire de cette région où l'ingéniosité humaine a toujours su s'adapter aux contraintes environnementales. Le Ksar de Taouiala, ses jardins en terrasses et son système d’irrigation ainsi que les stations de gravures rupestres, dont la célèbre "éléphante protégeant son éléphanteau" d'El Ghicha, choisie par l'UNICEF comme symbole de la protection de l'enfance, témoignent de la profondeur temporelle des relations entre l'Homme et son environnement dans cette région.
Cette semaine d'immersion professionnelle a démontré que l'agriculture oasienne, loin d'être une relique du passé, constitue un modèle d'avenir où savoirs traditionnels et innovations techniques s'allient pour façonner des systèmes agricoles résilients et durables.
Mise à jour des activités du Living Lab de Skoura
L'équipe de l'ENAM a récemment accueilli deux étudiants en master de l'Université de Wageningen dans le cadre du projet NATAE. L'un des étudiants, Luigi Lugaresi, a travaillé sur les aspects techniques et l'expérimentation de l'association du fenugrec, une plante aromatique et médicinale, avec les oliviers à Skoura. L'autre étudiante, Fay De Beer, s'est concentrée sur l'étude et la réalisation d'enquêtes auprès d'agriculteurs et d'agricultrices, à l'intérieur et à l'extérieur des coopératives du laboratoire vivant de Skoura. Pour son travail, elle devait organiser un groupe de discussion avec les femmes de la coopérative Safirat Al Aachab. Safa Aatig, qui fait partie de l'équipe de l'ENAM, a donc organisé cette session et a participé en tant qu'animatrice, facilitatrice et traductrice au groupe de discussion. L'objectif était de recueillir les idées des femmes sur leur vision du développement futur de la coopérative et sur les techniques qu'elles jugent nécessaires pour faire de cette vision une réalité.


Le 1er mars 2025 à Skoura M'daz, les membres de la coopérative Safirat Al Aachab ont partagé leur vision de l'avenir dans le cadre d'une discussion de groupe. En 2035, les trois membres participants ont pour objectif de cultiver 100% de leurs matières premières, contre 70% actuellement achetées à l'extérieur. Cela comprend également l'expansion de la culture de plantes médicinales et aromatiques telles que le safran, la lavande et l'origan, qu'ils ont commencée en 2024 et 2025.
Les membres de la coopérative ont souligné leur volonté de maintenir la structure petite et soudée de la coopérative et ne veulent pas admettre de nouveaux membres. Ils envisagent de cultiver environ 10 hectares d'ici 2035 avec des terres en propriété et en location et de se concentrer sur des pratiques durables telles que l'irrigation au goutte-à-goutte. En outre, ils se sont montrés intéressés par l'obtention de la certification ONSSA, qui les aiderait à demander des subventions gouvernementales et à améliorer leurs produits. Cependant, ils continuent de réaffirmer leur engagement à réinvestir tous les bénéfices dans la coopérative et à ne pas en tirer de revenus personnels.
RIAM organise un webinaire sur le Système Participatif de Garantie (SPG)

Historique, objectifs, outils, fonctionnement, témoignages d'agriculteurs, Témoignages de consommateurs.
Compte tenu des défis agricoles auxquels sont confrontés le Maroc et l'Afrique du Nord en raison du changement climatique et de la dépendance à l'égard des importations de denrées alimentaires l'agroécologie présente une solution viable pour la durabilité et la résilience.
Depuis 2018, le RIAM développe le Label "Système participatif de garantie" avec le soutien des partenaires institutionnels et de la société civile. de partenaires institutionnels et de la société civile. Actuellement, une soixantaine d'exploitations agricoles à Rabat-Salé-Kénitra, Marrakech et Casablanca sont certifiées dans le cadre de ce système, qui promeut l'assurance qualité locale locale par la participation active des parties prenantes, la confiance, la mise en réseau et l'échange de connaissances.
Ce webinaire guidera les agriculteurs dans le processus de mise en œuvre du GSP Agroécologie Maroc, une approche participative afin de conduire une transition inclusive vers des pratiques agricoles durables tout en assurant la viabilité économique.
PROGRAME
- Présentation de l'historique du GSP
- Présentation des objectifs et des outils
du GSP - Témoignages d'agriculteurs et de
consommateurs